Cette étude, signée par la start-up KRNO qui œuvre pour la fiabilité des diagnostics immobiliers, pourrait bien faire du bruit. En s’appuyant notamment sur les compétences de deux chercheurs en mathématiques et en intelligence artificielle de la société, la start-up a voulu offrir une démonstration mathématique de l’ampleur et des implications des fraudes aux «DPE (diagnostics de performance énergétique) de complaisance». Laissant de côté les faux DPE purs et simples (réalisés par un faussaire) ainsi que les DPE mensongers (où le diagnostiqueur triche délibérément en améliorant fortement la note), KRNO a voulu se concentrer sur les notes «enjolivées» où le coup de pouce du diagnostiqueur permet souvent d’atteindre une lettre supérieure.
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