« La menace en matière d’espionnage et d’ingérence peut paraître moins mortelle » que celle du terrorisme, mais elle n’en est pas moins « dangereuse pour notre démocratie », a expliqué la directrice générale de la sécurité intérieure Céline Berthon sur Franceinfo le 12 mars.
Interrogées sur les ingérences étrangères, la cheffe de la DGSI indique que ces dernières prennent principalement trois formes : de la déstabilisation « de faible intensité, mais amplifiée par leur médiatisation », des actes de repérage « sur des industries, qui contribuent par exemple à l’effort de guerre » vis-à-vis de l’Ukraine, et des tentatives de pression sur des opposants réfugiés présents sur notre territoire.
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Espionnage, intox’ : la directrice de la DGSI alerte contre les ingérences numériques …
