Si les scandales d’espionnage se multiplient, la régulation des outils de piratage semble largement au point mort. Un «code de bonnes pratiques», non contraignant, a été signé vendredi 4 avril par 21 Etats, européens pour la grande majorité, pour commencer à poser quelques principes partagés.
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Logiciels espions : face aux dérives, les pays européens avancent à pas comptés …
